L’investissement immobilier représente une source de revenu important. Toutefois, le  propriétaire d’un logement en location déclare les loyers qu’il perçoit dans la catégorie des revenus fonciers. Déclarer ses revenus fonciers perçus par la mise en location de son bien est l’objet de prélèvement d’impôts.

Revenus fonciers, c’est quoi ?

Déclarer ses revenus fonciers est obligatoire pour tout propriétaire de bien. Les principaux revenus fonciers que plusieurs personnes ont connus sont les loyers qu’une personne reçoit lorsqu’il met en location son bien immobilier non meublé. Ces biens immobiliers se subdivisent en deux groupes. D’une part, il peut s’agir d’une résidence ou d’une habitation telle qu’une maison ou un appartement. Et d’autre part, cela peut être une enceinte pour les entreprises, s’il s’agit d’un bureau, d’un entrepôt, etc. Il est possible aussi que les revenus fonciers prennent la forme de recettes selon l’investissement dans une entreprise foncière. Selon la définition, les revenus fonciers sont des profits et dans ce cas, ils sont imposables, comme tous les autres profits perçus par un contribuable.

Déclaration d’un revenu foncier suivant le régime du micro foncier

En fonction de la situation, l’adoption pour un climat plus qu’un autre peut être pilotée selon  l’économie fiscale réalisée. Dans un premier temps, il faut savoir que si la somme des loyers, effectivement perçus, est inférieure à 15 000€, vous êtes soumis au régime microfoncier. L’avantage de ce dernier, c’est qu’il s’agit d’un moyen simple d’imposition. Et en plus, il suffit de redoubler votre revenu foncier sur l’affirmation d’impôt classique dans le cadre « revenu foncier » et vous laissez faire l’administration fiscale. Cette dernière va d’elle-même appliquer un abattement de 30 % pour prendre en compte les charges liées à la détention de ce bien. Et les 70 % restants sont additionnés à vos autres revenus fonciers et soumis au Tarif progressif de l’Impôt sur le Revenu ou IR.

Déclaration d’un revenu foncier relevant du régime réel

À l’inverse du régime microfoncier, si votre revenu foncier est supérieur à 15 000 €, il est normal que vous soyez soumis au régime réel. De plus, déclarer ses revenus fonciers s’avère être bien plus complexe que le premier. En plus de vos revenus fonciers détaillés, vous êtes obligés de déclarer la somme des charges et tous autres frais liés à la détention des biens mis en location. Entre autres, ces montants sont à reporter sur le formulaire dans le cadre « Propriétés rurales et urbaines ». Les revenus sont à déclarer dans le cadre « Recettes » et vos charges dans le cadre « Frais et charges ».